126 journalistes et employés des
médias ont péri dans des violences, des conflits et des désastres à travers le
monde en 2013. La Syrie était, pour la deuxième année consécutive, le pays le
plus dangereux, a indiqué l’INSI (International News Safety Institute). En
2012, il y avait eu 21 morts de plus mais cette année les enlèvements et
disparitions ont été plus nombreux.
Rien qu’en Syrie, 19 journalistes, ou autres salariés d’organes de presse, ont trouvé la mort en 2013, contre 28 l’année précédente. En outre, 18 journalistes étrangers et 20 syriens sont portés disparus après avoir été enlevés, ajoute l’INSI, organisme fondé en 2003.
Après la Syrie, les Philippines et l’Inde sont les pays les plus dangereux pour les médias, avec 13 morts chacun.
En Irak, onze journalistes ont trouvé la mort, dont dix abattus par des groupes armés. La ville de Mossoul est la plus dangereuse, avec sept morts.
Au Pakistan, on a dénombré neuf journalistes tués.
Rien qu’en Syrie, 19 journalistes, ou autres salariés d’organes de presse, ont trouvé la mort en 2013, contre 28 l’année précédente. En outre, 18 journalistes étrangers et 20 syriens sont portés disparus après avoir été enlevés, ajoute l’INSI, organisme fondé en 2003.
Après la Syrie, les Philippines et l’Inde sont les pays les plus dangereux pour les médias, avec 13 morts chacun.
En Irak, onze journalistes ont trouvé la mort, dont dix abattus par des groupes armés. La ville de Mossoul est la plus dangereuse, avec sept morts.
Au Pakistan, on a dénombré neuf journalistes tués.
L'observateur du Maroc
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